104 – Rétrospectives afin de Comprendre ce qui s’en vient

Si vous êtes un lecteur assez ancien, vous comprendrez bien des choses et vous allez enfiler les perles avec aisance avec ce que je vais vous révéler. Par contre, si vous êtes nouveau sur mes blogs, alors vous peinerez un peu pour saisir la véritable portée, cependant il vous sera aisé de rattacher toutes les informations que vous avez collectées dans vos recherches sur internet.

En effet, La Vérité (ou La Lumière si vous préférez) passe par toutes les fissures des voiles de l’oubli et forcément, nous allons la retrouver sur internet. Le seul hic dans l’affaire est qu’elle sera morcelée en d’infimes fractions, mais surtout totalement diluée et engluée par de multiples informations issues de l’involution, c’est-à-dire des programmes involutifs hébergés depuis la nuit des temps dans l’inconscient humain, et donc des auteurs et canaux.

En d’autres termes, beaucoup de personnes sur le chemin découvrent des particules de vérité mais peinent véritablement à discerner le vrai du faux afin de faire au final une synthèse qui tient la route. Le principal problème, donc, du marcheur est la confusion qui est inévitablement apportée par toutes ces informations qui se contredisent, amenant ainsi le doute à s’installer confortablement dans l’humble bocal du gazé que nous sommes.

C’est la raison pour laquelle, régulièrement, je remets tout à plat afin d’avoir un recul nécessaire suffisant pour découvrir ce que je n’avais pas vu auparavant. Vous savez, tout comme moi, qu’avoir le nez dans le guidon (être pris par des urgences quotidiennes de 3D généralement) nous éloigne de notre essence et donc nous rapproche du robot biologique n’agissant que selon des programmes préétablis par la société elle-même.

En gros, plus le quotidien nous prend la tête et plus nous devenons aveugles à la vérité qui sous-tend toute La Création. De ce fait, nous nous éloignons de notre centre, de notre paix intérieure et donc de notre petite voix. Il en résulte encore plus de séparation, et donc encore plus de bordel au point que seule la réaction devient notre aptitude basique pour nous en sortir.

Nous sommes tels des moineaux qui au moindre soupçon s’envolent alors qu’il n’y avait nul lieu de le faire !!! Cet incessant ballet d’envol et d’atterrissage fait du préhumain un être basé sur la peur, sur la peur permanente de se faire bouffer. Bref, c’est l’automatisme qui prédomine et comme nous sommes bourrés de programmes involuants, il est facile de comprendre pourquoi nous en sommes arrivés à être dans un tel merdier.

Il n’y a nul besoin d’implorer un super égrégore appelé “Dieu” pour nous venir en aide, car justement c’est cet égrégore qui est le responsable de tout ce bordel ici bas. Autant il devient clair pour un marcheur qu’un Ordre Mondial veut laminer toutes les nations afin de mettre l’Humanité sous sa domination, il n’est pas difficile de voir que les religions ont déjà tenté de le faire en voulant imposer un Dieu unique.

L’histoire du catholicisme démontre clairement comment une caste créchant du côté du Vatican a décimé des continents entiers au nom d’un dieu unique à coup de buchers et autres divertissements psychologiques assez glauques. Et puis, décalage temporel oblige, c’est maintenant au tour de l’Islam de vivre son inquisition. Ça flingue donc assez facilement dans et entre toutes les factions rivales.

Bref, au nom de Dieu (ou autres noms), on flingue au nom de l’amour, du respect et du retour aux principes premiers de l’homo erectus… Cependant l’homo interneticus est en train de changer la donne, au même titre que le catholique qui a pu se mettre à lire la Bible grâce à Gutenberg. Il y eut donc une vague sérieuse de remise en question qui a été appelée le protestantisme, c’est-à-dire ceux qui levaient le doigt et qui disaient que ce qui était fait dans la vie de tous les jours (et prêché par l’église catholique) était fort différent des écritures “saintes”.

En gros, quand les communs des mortels ont accédé à l’info, ils ont vite compris qu’on les avait pris pour des cons et qu’on les avait entubés grave… Aujourd’hui la même chose est en train d’advenir grâce à internet (pour le moyen de diffusion de masse – l’imprimerie virtuelle) et grâce aux quelques personnes “canalisant” l’Un-Visible, soit en étant des “canaux directs” ou soit via leur petite voix.

Bref, rien n’a changé en soi dans le fond et sur la méthode de captation de l’info, sauf que maintenant ça va plus vite grâce à internet. On peut donc dire qu’internet est le diable pour les institutions religieuses tout autant que pour les institutions autres. En effet, que tu sois une banque ou une multinationale tout autant qu’un état, maintenant tu peux te faire malmener en des temps records.

Internet est donc une bénédiction pour les marcheurs, cependant cela peut être aussi une perdition si l’on ne prend pas de recul suffisant. J’en reviens donc à cette nécessité de prendre du recul régulièrement sous peine de se voir asphyxié en des temps records. En effet, combien de marcheurs ont vécu cet abattement face à ces tonnes d’informations totalement contradictoires ? La réponse est simple : tous l’ont vécu !

Il faut donc avoir une capacité de relâchement (le fameux lâcher prise) qui permet de prendre de la distance, du recul (une pause en sorte) afin que le véritable discernement (celui du cœur, de la petite voix) puisse surgir. En effet, le volume sonore de la petite voix est faible (poussif même, surtout au début) devant le bordel des enceintes à fond du mental-égo qui s’en donne à cœur à pédaler pour se faire peur…

En gros, le mental-égo c’est le cycliste qui pédale à fond sur une piste en boucle du vélodrome avec un casque stéréo sur les oreilles. Il veut faire de la performance, être le meilleur et avoir une chance de monter sur un podium pour avoir une médaille afin d’améliorer son indice d’existence, puisqu’au fond il nourrit l’idée qu’il n’est rien (et c’est normal puisque fondamentalement il est une illusion dans l’illusion).

Cela n’empêche que pour pédaler il lui faudra être une pub ambulante. Il porte donc fièrement la ou les marques de plusieurs multinationales afin de démontrer qu’elles lui font confiance (ça aide beaucoup pour endurer la souffrance musculaire !). Pour le marcheur, ses multinationales sont l’écologie, le bio, le New Age, l’attente d’un sauveur ou la promotion du bisounoursisme… Bref, que du truc extérieur qui sert à d’autres.

Il est évident qu’un cycliste sans paire de lunettes ça n’existe pas. Il y a donc ceux qui ont des lunettes noires, d’autres des roses et puis, pour les plus avancés, il y a les lunettes virtuelles. Ces dernières sont la crème de la crème, puisque cela permet au cycliste de croire non seulement qu’il est en balade touristique à l’extérieur mais aussi qu’il est sur un vélo.

En effet, il est en fait royalement avachi dans un fauteuil pourri et obèse comme pas possible de toutes les cochonneries vendues par ses sponsors. Et puis, forcément, pour un meilleur contraste au niveau des lunettes, la lumière ambiante est à son minima syndical, voire carrément éteinte, afin de s’assurer qu’il ne peut se réveiller du rêve-réalité dont il pense être l’auteur, le cocréateur total puisque c’est sa volonté…

Voyez-vous, comme d’hab, j’ai un peu dérivé mais cela fait partie de ma manière de suivre quelques chemins imprévus alors que ma route était déjà toute tracée dès la frappe du titre de cet article. Alors revenons sur la voie principale et voyons une petite rétrospective des trois premières années du Nouveau Monde afin qu’ensuite je puisse mieux vous faire sentir ce que va être dans son essence cette nouvelle année.

Je ne suis ni madame Irma et encore moins madame Soleil, car cela n’est que fadaises pour entretenir la foi du cycliste. Le second point est que forcément je vais prendre des exemples personnels parce que je pédale sur mon vélo et pas sur le vôtre. Cependant, si vous avez l’habitude d’être dans mon sillage, il est fort probable que nous soyons équipés d’équipements similaires.

En effet, on a distancé les trottinettes, les poussettes sur coussin d’air ainsi que les vélos du Tour de France trop spécialisés pour l’asphalte autoroutier des multinationales. Nous sommes donc équipés de VTT à gros boudins pour traverser des champs de boue ou terrains meubles, tout en bénéficiant d’un gonflage à l’hélium pour compenser le poids de certains équipements involutifs.

De plus, l’exercice ne consiste pas à aller vite mais surtout à rester en équilibre sur le vélo afin de pouvoir continuer à pédaler. Hé oui, dans le tout terrain, poser le pied à terre doit rester une exception, sauf quand on a décidé qu’il était temps de descendre de vélo afin de retaper une maintenance au vélo lui-même. En cela, je veux dire prendre un recul suffisant pour savoir se séparer de certaines pièces du vélo devenues encombrantes.

Hé oui, un marcheur sur le chemin devient un Vététiste quand il a atteint un certain niveau vibratoire. Il est donc courant de voir des marcheurs pousser un vélo, comme il est quelquefois possible de voir des vélocipédistes jouer aux filles de l’air quand une butte ou un trou imprévu s’est présenté sur leur route. Enfin bref, nous sommes tous des cyclistes, car jusqu’à maintenant je n’ai rencontré personne n’ayant pas de petit vélo….

Je vous raconte tout cela car récemment (grâce aux emails), j’ai pris connaissance de quelques réflexions auxquelles j’aimerais répondre publiquement. En effet, le premier cas est celui du cycliste qui pense qu’avec son mental il va pouvoir séparer le blé de l’ivraie. L’illusion dans cette histoire est que le cycliste croit qu’en fabriquant un super vélo via des anciens enseignements, il va s’affranchir de la difficulté à pédaler.

Dit autrement, il va fabriquer un vélo style “Tour de France” grâce à son intelligence mentale. C’est un bonne logique sauf que primo, le Tour de France est une affaire de gros sous absolument sponsorisé par les multinationales (et donc de l’involution elle-même) et que secundo, ce n’est absolument pas prévu pour le tout terrain car nous savons tous qu’un véritable marcheur-cycliste est celui qui quitte les routes goudronnées…

Tertio, il pense qu’un vélo hightech compensera le manque de masse musculaire et les heures de pédalage nécessaire pour l’acquérir. Quatrièmement, il pense en termes de performances, de vitesse et non en termes de rester en équilibre… Bref, en “voulant” se construire un super vélo, en fait, il se construit un outil de perdition. Or, n’est-ce point là ce que veut l’involution : faire croire que vous allez vous en sortir avec votre mental uniquement ?

Passons maintenant au second exemple qui est celui d’une personne sincère, respectueuse et aimante. A lire ses emails, je me sentais bien car la vibration y était et les questions étaient super pertinentes, franches et directes. J’ai beaucoup apprécié, car c’est ainsi que nous devrions tous être naturellement. Cependant un petit truc me chagrinait derrière toute cette bonne vibration.

Je sentais en moi non pas une fausse note mais plutôt que l’air entendu relevait plus du militaire que de la valse à quatre temps. L’air de la musique était harmonieuse, voire enivrante au point de te galvaniser suffisamment pour aller sur le champ de bataille avec la certitude de gagner. C’était enchanteresque, sauf que tu allais en direction d’un lieu où, de toute façon, tu aurais des problèmes pouvant aller du physique au psychologique.

Je me suis donc vu à répondre comme un vététiste, c’est-à-dire à apprendre à maîtriser les changements de vitesse aussi bien du pédalier que des pignons arrières. En effet, sur de la route asphaltée tu changes bien de vitesse mais tu peux prendre ton temps pour le faire. Par contre, en tout terrain, c’est ta vitesse d’exécution et surtout le bon choix qui déterminera si tu vas rester en équilibre sur le vélo.

Hé oui, le pédalier correspond en sorte à ta vision dimensionnelle courante, ainsi le grand plateau serait la 5D, le moyen plateau la 4D et le petit plateau la 3D. Cela faisant, il faut comprendre qu’un tour de pédale reste un tour de pédale, mais cela n’a absolument pas les mêmes résultats face à la difficulté que tu affrontes. Dans un cas, la force musculaire demandée sera faible, dans un autre cas acceptable et dans un autre tu caleras tout simplement.

C’est ainsi qu’une vérité en 3D (sur le petit plateau) te semblera vraie et indiscutable. Par contre, sur le moyen plateau (la 4D) elle commencera à être une demie-vérité pour finalement être une contre vérité sur le grand plateau (ou 5D).

Ainsi une petite butte sera engloutie sans problème avec le petit plateau (c’est facile, évident, même pour les pas musclés) autant ça deviendra couci-couça sur le moyen plateau (à celui qui a de la cuisse et dont le guidon est solidement fixé) et autant tu seras obligé de poser pied à terre sur le grand plateau pour les raisons suivantes : 1) Tu n’as pas la force musculaire suffisante 2) La chaine a déraillé 3) La chaine a cassé.

Ainsi quand on me présente un argument indiscutable, j’ai naturellement le réflexe de passer sur un autre plateau, comme je suis capable de passer de la cinquième à la seconde quand je conduis une voiture. Tout est fonction de la vitesse, mais il y a encore des gens qui pensent que lorsque l’on rétrograde c’est forcément vitesse par vitesse, quitte à faire 3 débrayages en 5 secondes…

Voilà pourquoi il m’est quelquefois difficile de vous répondre car, à un instant t, tout le monde n’est pas sur le même plateau, sur le même plan vibratoire, sur le même terrain et à la même vitesse. Ainsi si je répond 5D, celui en 4D va tousser tandis que celui de 3D me traitera d’imposteur avec toutes les preuves à l’appui. Et puis, si je réponds 3D, le 4D va ronchonner et le 5D penser que je suis un has been totalement dépassé.

Reste donc la solution 4D, où les 4D seront rassurés mais où les 3D et 5D ne seront pas heureux… Alors je fais quoi dans l’affaire ? Comprenez donc que ce n’est pas facile de contenter tout le monde, mais heureusement il y a les pignons arrières et chacun d’entre vous devrait savoir jouer sur ce dérailleur afin de compenser par rapport au plateau principal.

Je précise que le dérailleur arrière est un réglage plus fin de la vitesse que celui du dérailleur du pédalier. Il permet d’ajuster plus finement mais avec le handicap qu’il y beaucoup de pignons différents et que, pour faire passer la chaine de 1 à 3 ou 4 pignons supérieurs, il faut quand même que la chaine tourne suffisant ; or souvent, nous n’en avons pas le temps physiquement (d’où l’installation d’un dérailleur sur le pédalier…).

Cela peut vous paraitre très technique pour qui n’est jamais monté sur un vélo à double dérailleur et qui, en plus, n’a jamais fait de tout terrain. En cela, je vous conseille d’aller prendre l’air dans la campagne et surtout en forêt, et vous verrez qu’une simple balade pédestre peut devenir un vrai parcours initiatique dès que vous êtes sur un vélo prévu à cet effet.

Vous verrez qu’un simple escalier, une simple descente ou tout bonnement une flaque d’eau bien étalée prendront des aspects qui vous sont inconnus. J’ai connu cela (sinon je n’en parlerais pas) et je peux vous dire que c’est beaucoup mieux que d’être dans son divan à se gaver des conneries de la TV et, dans une moindre mesure, à passer sa vie derrière un écran.

Aussi, vous l’aurez compris, si je me permets de vous donner des infos, c’est bien sûr pour vous permettre d’alimenter votre petit vélo puisque sans lui vous ne pourrez aller nulle part ! Le mental est un outil et ne reste qu’un outil de l’incarnation, cependant pour l’instant il a de trop nombreux autocollants égotiques involuants collés dessus (d’où le nom composé de mental-égo) parce que son propriétaire est un fan des multinationales…

Il suffit donc que ledit cycliste commence à comprendre qu’un vélo ne demande qu’à rouler et être conduit. Malheureusement l’attachement inconscient à croire que la vie se résume au mode “Tour de France” fait en sorte que le faux petit égo s’éclate en fête foraine à toutes les étapes. C’est sûr qu’en abandonnant les routes goudronnées et la notion d’ultra compétition, on se retrouve à être regardé comme un papi mougeot qui peine à appuyer sur les pédales tant la route de campagne semble discréditée et donc désaffectée par les multinationales de l’involution.

En tout cas, outre le fait de tracer en dehors des chemins hollywoodiens (et donc de l’illusion hypnotisante où des vestales bien roulées font la bise au vainqueur sur le podium), je vous propose la balade en pleine Nature loin du boucan, des klaxons et de la cohue des troupeaux de mouton sous l’emprise des narcotiques involutifs. Il va donc vous falloir apprendre vos différentes dimensionnalités en jouant des 2 dérailleurs sans pour cela dérailler !

Il est évident qu’aucune médaille ne vous attend quelque part puisqu’il n’y a pas d’arrivée… L’objectif est donc d’apprécier le chemin avec ses emmerdes et ses embuches afin de tourner les difficultés de l’apprentissage en un jeu absolument personnel puisqu’étant seul face à vous même, face à vos propres programmes involuants, à vos propres décisions.

Certes, c’est mieux d’être avec des copains et copines, car c’est en voyant les autres se ramasser et se relever que l’on fera de même quand cela nous arrivera. Ainsi une mare de flotte bien boueuse n’aura plus beaucoup de secret si déjà d’autres sont passés avant vous (et que vous avez été le témoin attentif), sinon il vous faudra y aller à l’aventure avec tous les risques que cela comporte.

Cela dit, comprenez aussi, qu’il vous sera impossible de rentrer à la maison aussi propre (voire plus propre) que lorsque vous en êtes sorti. Alors arrêtez de croire que vous êtes sur le mauvais chemin à chaque fois qu’une crasse vient se coller à vos concepts et croyances. Être un marcheur vététiste implique obligatoirement que ce qui se cache en vous ressorte d’une manière ou d’une autre, alors que ce soit psychologique ou physique, ne vous attendez pas à devenir des apollons ou des vierges immaculées.

Bien au contraire, attendez-vous à voir remonter tout ce qui vous empêche d’être, tout ce qui vous empêche d’exprimer votre véritable essence. Je ne dis pas que c’est un chemin de croix, mais il faut dire qu’il y a effectivement beaucoup de croisements. Et vous seul déciderez le chemin à suivre tout en sachant que le demi-tour est en soi impossible car, comme on dit, la roue tourne !

Mon ami, mon frère, les gurus et les prophètes qui te disent que tout va s’arranger et qu’une main divine va te faire une lessive plus blanc que blanc omettent souvent de dire que tu iras dans le tambour de la machine à laver et que tu tremperas dans ta propre crasse au moins jusqu’à l’essorage. Alors ne pense pas que tu deviendras blanc comme l’immaculée par le simple fait d’accepter de rentrer dans la machine à laver et que tu pourras continuer à arborer les couleurs de l’illusion…

La lessive Céleste va faire déteindre tes couleurs de personnalité du petit-égo qui deviendront fades, très fades au point probablement que tu ne te reconnaitra pas. Cela dépendra de la température de l’eau (du 30° à l’ébullition), du programme enclenché (synthétique ou coton), de la durée de l’essorage et du nombre de cycle de rinçage-essorage.

Bref, un vététiste apprend à connaitre assez rapidement les programmes de lavage car à chaque fois qu’il revient d’une de ses expéditions, il sait qu’il sera obligé de changer de fringues… Alors mon frère, mon ami, je m’en vais te conter quels ont été les programmes de lavage des années du Nouveau Monde à travers mes propres balades.

Tu auras forcément eu aussi des programmes spécifiques car à chaque année correspond un programme vibratoire spécifique. Ainsi pour chacun d’entre nous, cela se passe en fonction d’où on en est et surtout de notre aptitude à jouer des dérailleurs afin de conserver l’équilibre et la vitesse adéquate au terrain traversé.

Ainsi fonction de cette expérience, tu découvriras par toi-même dans quelle mesure tu seras impacté en cette année 2016 ou An 4 du Nouveau Monde. Ne t’attends donc pas à ce que je te dise ce qui va t’arriver mais, par contre, connaissant les conditions météo tu sauras mieux choisir ta tenue de sortie ainsi que les équipements que tu pourras ajouter ou retirer à ton vélo selon tes possibilités.

Je te donne rendez-vous bientôt pour la suite car cela ne serait tarder. Cela se fera de toute façon, car ma petite voix m’a bien confirmé que j’allais le faire mais pas pour l’instant, car l’horlogerie céleste impose quelques contraintes. Cet article est juste pour m’aider à retrouver la joie du clavier, car depuis plusieurs semaines j’ai été débranché afin d’être upgradé matériellement.

Hé oui, mon VTT a été modifié dans les garages de l’UN et il a été expressément recommandé à ce que son chauffeur soit occupé à d’autres œuvres que l’écriture internettienne. Cela vous sera révélé quand ledit cycliste sera autorisé à remonter sur sa nouvelle bécane. D’ailleurs avec cet article, il a commencé à faire un tour de chauffe et en intérieur pour une première prise en main.

Je vous confirme donc qu’il est prévu que je sorte du garage. On pourra donc reprendre nos balades, mais cette fois-ci avec quelques équipements plus adaptés à ce qui est devant nous. En effet, vous l’aurez compris, la grande majorité des équipements actuels et passés seront largement inadaptés à ce qui s’en vient, d’où la nécessité de rester synchrone avec l’horlogerie céleste puisque c’est elle qui va délivrer le matos.

Par cela, je veux dire que vouloir persister à étudier l’ancien revient à croire que l’ancien pourra survivre et même vous sauver par rapport au nouveau… C’est une illusion totale, forcément, et comme La Source est très très compréhensive (il en sera fait selon la vibration de chaque Un), celui qui sortira avec sa peau de bête et sa hache de silex se retrouvera forcément dans le milieu qui y correspond.

Ainsi quand certains veulent revenir aux origines en suivant un régime paléo quelque chose, ils seront forcément heureux de vérifier la véracité de leurs dires en allant visiter cette période là. Si c’est leur croyance, ils seront pleinement satisfaits car croyez-moi La Source aime inconditionnellement donner ce que l’on demande, parce que justement nous sommes des Créateurs incarnés et que l’on est là pour ça !

Laurent DUREAU