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Opération Petit Poucet : L’eau de Maman Urantia-Gaia

Petit-poucet-05Bien maintenant que nous avons vu comment faire pour avoir une eau de consommation à titre personnel, nous allons voir comment aider maman Urantia-Gaia à plus grande échelle et donc envers toutes les formes de vie qui y circulent. En effet, notre planète bleue est une planète d’eau et c’est l’élément qui a été le plus dénaturé dans notre expérience involutive.

L’eau a été aussi l’élément clé de cette expérience car justement elle a des propriétés d’enregistrement hors du commun. Ainsi l’opération Petit Poucet a pour objectif de désencoder l’eau existante trop chargée en mémoires involutives en lui offrant une cure de jouvence offerte par le maître des eaux lui-même.

En effet, tôt ou tard, on me demandera mais qui t’a donné cette capacité d’encoder l’eau et les pierres ? Et, la réponse est le Déva de l’eau; or qui est LE Déva de l’eau ? Ma réponse est celui qui est au sommet de tous les Dévas car justement; comme je l’ai indiqué dans mon précédent article, l’eau est la richesse numéro UN toutes catégories confondues sur cette planète bleue.

C’est un nom qui est connu, bien qu’il semble provenir d’une mythologie. Son nom est Poséidon. Alors comment, Laurent, l’as-tu rencontré ou contacté ? En fait, c’est au détour d’une mission concernant des citées cristallines “aquatiques” que j’ai eu l’honneur de faire sa connaissance.

Certes, au début j’ai trouvé un peu gros que ce soit un nom mythologique, mais à la fin j’ai quand même compris que les Grecs avaient eux aussi eu le droit d’être en contact avec lui. En effet, au même titre que quelqu’un qui me dit qu’il cause avec Mickaël ou Marie… Marie ça sonne Français, tout comme Mickaël sonne l’Anglo-saxon. Bref, j’ai dépassé ce petit “blocage”…

C’est donc en discutant avec lui à plusieurs reprises que j’en ai su plus long concernant le code-source qu’il nous a refilé pour diffusion. En fait, ce code comporte 2 grandes parties : l’une est la déprogrammation et la seconde la programmation elle-même.

En effet, si une eau est déjà encodée jusqu’à la lie, il n’y a plus de place pour y mettre le nouveau code. La partie 1 est donc un programme qui permet de désinscrire tous les programmes involuants (et donc falsifiés), les programmes erronés (ceux qui sont incomplets car ils ont perdus en route des morceaux de code) et ceux qui sont inutiles (ce n’est plus d’actualité).

En gros, c’est un nettoyage en règle de la disquette où tous les virus, malwares, fichiers temporaires et fichiers corrompus sont “nettoyés-éradiqués”. C’est alors que les nouveaux codes sources (globalement les nouvelles règles de fonctionnement qui auront lieu en 5D6D, soit un fonctionnement basé sur le silice au lieu du carbone) pourront s’y inscrire.

Au tout début de l’aventure, nous n’avions que la possibilité d’encoder l’eau en direct mais pas les cristaux. C’était, comme d’hab, pour s’assurer que nous n’allions pas virer de bord en fabriquant de l’eau “bénite” et en faire commerce. Puis, secundo, de voir avec quelle régularité nous étions capable de nous arrêter dès que l’on voyait un cours d’eau pour l’encoder.

Ainsi tout être de la Nature évoluant dans l’eau (les ondines en eau douce et les serpentines en eaux de mer) avaient reçu pour mission d’avertir quand le code apparaitrait quelque part. C’est ainsi que nous avons découvert que lorsque nous encodions une eau, il y avait toujours quelqu’un à nous regarder. Maintenant on sait pourquoi.

Cela faisant, c’est ainsi que l’on nous présenta accessoirement un élémental capable de déverrouiller l’encodage-écriture des pierres afin que le code soit gravé à jamais. En effet, encoder l’eau directement amène forcément une dilution du programme qui, à force de réplication, vient à s’affaiblir puis disparaitre.

Par contre, en gravant dans la pierre directement, l’effet dilution dû à la perte d’énergie progressive est quasi nulle. De ce fait, en encodant directement des minéraux, l’action devient durable mais il fallait pour cela s’assurer que les détenteurs de cette capacité soient fiables, c’est-à-dire dans un Service totalement désintéressé. On a donc passé les tests avec succès !

C’est alors que l’on a pu lancer l’idée de l’opération Petit Poucet. Cependant autant il est “facile” d’encoder des pierres pour la consommation individuelle, autant on se retrouve devant un tout autre problème quand il faut encoder tous les cours d’eau. La logistique n’est pas la même et surtout les conséquence financières…

J’ai donc tourné la chose en bien des sens et progressivement il est apparu des pistes super intéressantes à tout point de vue. Je vais donc vous livrer tout cela en vrac avec des indications du comment on pourrait mettre tout cela en place.

Le cristal de roche
C’est LE minéral par excellence mais il a un coût certain. C’est surtout sa gamme de fréquence exceptionnelle (il accepte toutes les longueurs d’ondes du spectre visible) qui fait que j’ai opté pour lui pour l’eau de consommation. Le fait que la pierre soit aussi roulée est surtout pour des raisons de sécurité, tant alimentaire (morceaux de cristal pouvant agir comme des lames de rasoir) que domestique (coupure lors des manipulations, envoi et transport).

Notre choix s’est donc porté sur du cristal de roche poli et si possible le plus pur possible. La taille aurait pu être plus petite mais l’accident con qu’est l’ingestion du cristal pendant que tu bois était réelle. il fallait donc une taille minimale pour que l’individu se rende compte que quelque chose est tombé dans son verre et que cela ait du mal à passer quand on boit…

Cependant, nous n’avons pas eu le temps physique d’expliquer la suite que tous les stocks sont partis en moins de 24h. Cela a été une ruée car un nombre certains d’entre vous ont ressenti qu’il fallait qu’ils agissent par rapport aux cours d’eau. C’est louable, mais il existe d’autres alternatives moins chères permettant une distribution plus rapprochée des cailloux entre eux.

Le gravier type granitique
En effet, si vous mettez un petit caillou dans l’eau, autre que dans une bouteille limitée en quantité mais aussi stagnante, il n’en va pas de même quand on joue avec du débit (la Loire par exemple) ou la taille du lac comme le Léman… Il a donc fallu remettre à plat les critères de sélection et demander conseil à nos amis cristallins.

C’est là qu’ils nous ont dit qu’il fallait privilégier les graviers de type granitique (la roche a été fondue puis a été refroidie, d’où une conductivité plus grande favorisant l’encodage) en opposition aux roches sédimentaires qui ont été comprimées et qui, tôt ou tard, se déliteront par effet mécanique (gel, pression, différence de température) ou chimique (réaction de type calcaire par exemple) et possédant une conductivité faiblarde.

Fort de cela, il y a ensuite la notion de taille car si vous balancez un caillou de 5 mm dans le Rhône alors qu’il est en pleine crue, vous pouvez imaginer que son effet sera tout bonnement nul, sans compter qu’il se fera trimballé à des kilomètres de là où vous l’avez mis. Il faut donc prendre en considération l’aspect poids par rapport à la vitesse de l’eau.

C’est sûr que si vous balancez le même caillou dans votre puits, le résultat ne sera pas le même. Par contre, si au lieu de justement prendre quelques litres par jour pour votre consommation personnelle vous arrosez votre jardin et le gazon avec, il est évident que la taille (ou le nombre de caillou) va influencer l’encodage du débit tiré.

Comme vous pouvez le voir, il va falloir user de discernement quant à combien de caillou il va falloir balancer, et surtout de combien les espacer selon le débit de l’eau… Sans oublier que si la pompe du puits par exemple est trop forte par rapport au poids du caillou, ce dernier va vite retrouver l’air libre (et donc n’encodera plus du tout l’eau du puits !)…

Cela étant dit, on se retrouve avec un autre problème : celui du poids total de cailloux qu’il faut pour faire du bon boulot. Or, on le sait tous, les transports ce n’est pas gratuit, surtout par La Poste plutôt prévu pour des petits colis. Je vais donc vous donner des pistes et chacun fera en fonction de ses moyens, mais aussi en fonction du nombre de marcheurs qui pourront être en contact avec lui. On verra cela dans la rubrique “Mise à disposition des graviers encodés Petit Poucet” plus loin.

Je reviens donc sur l’aspect granitique et la taille. Aussi avant d’acheter quoi que ce soit, il faut vous assurer que c’est du granit et non de la pierre sédimentaire (plus difficile à encoder et qui de toute façon résistera mal au fil du temps dans l’eau). Il y en a de toutes les couleurs (blanc, noir, gris, rose et plus). La couleur n’a aucune incidence sur quoi que ce soit, choisissez alors selon la couleur locale et surtout par rapport au prix.

En effet, on s’en fout que la pierre soit anguleuse ou arrondie puisque personne ne les mettra dans sa carafe d’eau. Si c’est le cas, préférez bien sûr les arrondies. De plus, je parle d’achat mais si vous allez directement sur le bord du lit de la rivière, tout caillou, galet ou pierre roulée est bon à prendre. En d’autres termes c’est gratuit et cela ne dérangera personne, sauf si vous commencez à faire de la concurrence aux professionnels de la carrière locale…

Dit autrement, personne ne peut vous interdire de ramasser régulièrement quelques kg ou quelques seaux. D’ailleurs, il vous est aussi possible d’acheter des sacs de pierre dans les magasins de jardinage. Vous avez des sacs en pierres roulées de différentes couleurs en 25 kg pour un prix entre 10 et 15€. Ça s’appelle des pierres décoratives pour jardin.

Il existe aussi la solution du gravier concassé pour allées et jardins, sans oublier les graviers à béton. Tout ça c’est livrable en sac, voire en big-bag d’1 mètre cube quand ce n’est pas un camion complet. Bref, il y en a pour tous les goûts, toutes les bourses et tous les besoins. Vous pouvez même commander directement à la carrière et passer avec la remorque…

En fouillant sur internet voici par exemple 2 sites (l’un pour le gravier à béton avec un filtre de recherche dans la colonne de gauche et l’autre dans du gravier décoratif). Il y a aussi les galets, les pierres de rivières, etc mais surtout pas de la roche volcanique ou toute sorte de matériaux comme la brique par exemple qui est un sédiment (l’argile) qui a été cuit..

Mise à disposition des graviers encodés Petit Poucet
Comme nous l’avons vu, l’aspect transport prend des proportions financières gigantesques parce que justement des cailloux ça pèse et ça va peser d’autant dans le porte-monnaie. Il y a donc des solutions possibles en créant comme des dépôts locaux. Ainsi si une personne dans un département est ok pour avoir un tas de caillou chez elle, alors tout le monde pourra venir s’en procurer en venant avec sa voiture, et la remorque pour les plus volontaires..

Cela fera l’affaire de vous rencontrer mutuellement et pour une raison collective unifiante. L’aspect financier pourra être réglé sur place de main à la main ou offert gracieusement. C’est selon chacun et selon le degré de service que chacun a envie d’offrir. Aussi si la place vous manque ce n’est pas un problème non plus.

En effet, profitez-en pour étaler le gravier sur 10 cm d’épaisseur dans votre cour ou une allée. Ainsi quand chaque visiteur viendra en prendre il n’aura qu’à se baisser pour les ramasser. Et puis, une fois que vous voyez de nouveau la couleur de la terre, vous faites amener une autre livraison. Soyez créatif, ingénieux, débrouillard et faites avec les moyens du bord.

Rien n’arrête un Créateur incarné car justement c’est un Créateur. Ainsi toute difficulté apparente est en fait un tremplin pour le mettre au défi. On nous demande de retrouver nos capacités, nos aptitudes oubliées, et ce n’est pas en suivant les autres comme un mouton qu’on y arrivera. Si chacun met en œuvre son unicité tout en travaillant collectivement, intelligemment et donc avec fluidité, alors sa puissance cachée pourra se révéler.

Ainsi, lors de mon dernier passage chez Brigitte, nous avons encodé la totalité de son puits ainsi que ses 3 sacs de 25 kg de pierres roulées qu’elle avait acheté au magasin vert local. Il en sera de même chez Sébastien qui va faire livrer un camion de gravier pour allée qui sera mis justement dans une allée qui en avait besoin. Et puis il reste donc la question principale car capitale :

Comment va se faire l’encodage ?
Il se fera sur place puisque nous savons que le transport coûte plus cher que le gravier lui-même. Il sera donc plus économique pour tous que Corinne et moi nous nous déplacions chez chacun des “dépositaires”. Et c’est ainsi que cela va se passer, car avec un plein à 65 € on fait quand même 650 km (en gros).

Nous sommes donc prêts à prendre la voiture et à rouler avec quelques petites pauses pour faire une “Rencontre entre nous” (je ne veux plus dire conférence… mais mini-conf me va bien aussi). L’objectif est de faire le tour de France assez vite afin que chaque région puisse agir au plus tôt puisque c’est bientôt les vacances d’été et qu’il y a beaucoup de déplacement surtout à l’étranger.

Mais pour ce faire, il faudrait qu’il y ait au moins un dépositaire par région/département selon les cas, car s’il y a plus de 200 à 300 km entre chaque dépositaire cela ne va pas jouer, autant pour nous que pour les personnes désirant se procurer des pierres. La proximité est donc un élément clé majeur, surtout si les personnes aimeraient se revoir plus souvent !

Comment va-t-on savoir où a été fait l’ensemencement ?
En effet, si tout le monde balance à tout va, il y aura des régions qui seront en redondance tandis que d’autres ne verront personne. Et c’est là encore qu’il serait bien qu’une personne (par département ou région) coordonne les initiatives personnelles et puisse indiquer les lieux qui ont déjà été ensemencés. Cela peut-être la même personne qui fait dépositaire mais ce n’est absolument pas obligatoire.

Le second point est qu’il existe sur internet un portail où l’on peut avoir toutes les infos hydographiques de la France voire plus et cela dans un détail impressionnant. On peut savoir où naissent tous les cours d’eau et dans quel champ ils se trouvent…

On peut même avoir ses propres cartes et y annoter tout ce que l’on veut et même les partager avec les autres. C’est dément et c’est là et ça nous attend. Bien sûr ce service est absolument gratuit… Bref, on est prêt à faire une petite vidéo ou 2 pour vous instruire comment cela marche mais le temps nous manque un peu et cela ne sera pas dispo dans les 24h….

Bon d’accord c’est super, mais on fait comment pour les grosses rivières et les fleuves ? Là aussi, la réponse est simple et sans appel : on encode carrément le pont (et donc les piles de pont trempant dans l’eau) ou à défaut la berge quand on y trouve des rochers voire des quais pavés avec du beau granit…

Le temps d’encodage est d’environ 5 à 10 mn, alors voyez combien on peut encoder de ponts pendant une journée ! C’est le temps de passer d’un pont à un autre qui prend le plus de temps. Bien sûr, cela est réservé pour les cours d’eau faisant au moins 6-7 m de large. Et puis concernant les rivières-torrents de montagne, on encode directement les rochers et cela dès la source si possible. Ainsi à la fonte des neiges, votre petit caillou ne se verra pas emporter vers la vallée…

Il y a donc une préparation préalable et surtout un suivi à faire afin de compléter au mieux toutes nos opérations. Il en va de même pour mon humble Kangoo qui affiche avec fierté le dépassement des 215.000 km. C’est sûr qu’à ce régime de balade, il ne va pas durer encore 10 ans… Qu’importe on avisera en temps et en heure !

Sinon pour le littoral côtier, ne vous souciez pas, car là aussi on encodera directement les rochers, voire les plages si on n’a pas le choix. Mais de toute façon, tout y passera. Ce n’est qu’une histoire de temps et de persévérance, cependant un bon suivi évitera les redites faisant ainsi aussi des économies à bien des niveaux.

Et puis, un autre point pour l’efficacité, c’est qu’entre l’encodage entre deux dépôts, il serait bien de savoir quelle serait la meilleure route pour encoder les ponts à faire en priorité. J’ai déjà commencé à noter sur notre guide papier Michelin ce que l’on a fait. Voyez on s’organise nous aussi !

Voilà donc en gros le schéma d’une journée de balade “encodage pont – encodage dépôt – encodage pont” et ainsi de suite jusqu’à arriver le soir à “mini-conf”, dormir et repartir le lendemain. Ainsi si chacun s’y met et se coordonne (via le blog et le réseau Petit Poucet) afin d’avoir un maillage assez fin, ça va tracer dur-dur et tout cela pour le bien de tous et de maman Urantia-Gaia !

Je vous bise dans l’attente de vos réactions.

Laurent DUREAU

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1 Commentaire

  1. Sabine

    Bonjour et merci Laurent et à toute l’équipe

    Je suis en Savoie et je pense au barrage de Tignes …
    .Là un barrage si vous pouvez l’encoder ça informe un paquet d’eau ………

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